Sextape au Cameroun : un scandale impliquant deux policières secoue la toile

Le Cameroun est une fois de plus au cœur d’un scandale sexuel de grande ampleur. Depuis quelques jours, des vidéos au contenu explicite circulent activement sur WhatsApp et Telegram. Ces images montrent deux femmes en uniforme de police, dont l’une aurait pour prénom Christelle, en plein rapport intime dans un lieu qui semble être un bureau administratif.
Ces scènes, jugées choquantes par de nombreux internautes, ont été massivement relayées, suscitant une vague d’indignation. On y voit les deux femmes en train de se déshabiller, se caresser et s’allonger sur des meubles de bureau. L’indignation est d’autant plus forte que les faits semblent se dérouler dans un lieu de service, ce qui remet en question le respect des règles de conduite au sein de la police camerounaise.
Vives réactions et appel à des sanctions exemplaires
Face à cette sextape au Cameroun, les réseaux sociaux se sont enflammés. Les commentaires condamnant ce comportement se multiplient, certains internautes réclamant des mesures disciplinaires strictes à l’encontre des personnes impliquées. Pour beaucoup, cet acte va à l’encontre de l’éthique professionnelle attendue d’agents en uniforme.
Le silence observé jusqu’ici par les autorités compétentes – notamment le ministère de la Sécurité ou la direction générale de la police – alimente la frustration populaire. Ce scandale relance le débat sur la discipline et la morale au sein des institutions publiques. L’adage populaire résonne dans les discussions : “Quand le poisson pourrit, cela commence par la tête.”
Une affaire qui détourne l’attention d’un contexte politique sensible
Ce scandale sexuel n’intervient pas au hasard : il surgit dans une période de haute tension politique. La liste des 13 candidats à la présidentielle de 2025 vient tout juste d’être rendue publique, et l’opinion nationale est mobilisée autour des enjeux électoraux.
Alors que de nombreux jeunes appellent à un renouveau démocratique et à une mobilisation citoyenne, cette affaire de sextape fait diversion. Si l’indignation est légitime, certains rappellent que la priorité reste la lutte pour une alternance politique réelle et une justice sociale durable.
Rachelle Tapé
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