Suivez Nous

EUDOXIE YAO accusée de faire de la publicité mensongère

Danielle YESSO | | Société

Choisie pour être l’égérie de l’entreprise de vente de motos Mégamonde, Eudoxie Yao déclarait avoir perçu la somme de 30 millions de la part de la société pour l’utilisation de son image. Contre toute attente, l’entreprise déclare ne pas se reconnaître dans ces propos et indique n’avoir remis à l’artiste qu’une somme bien en dessous du million, pour son droit à l’image.

Depuis quelque temps, les photos de la plantureuse star ivoirienne Eudoxie Yao, assise sur une moto, faisaient le tour de la toile. Aperçue dans l’une des boutiques de l’entreprise Mégamonde, il semblait évident pour ses fans que la star avait été choisie pour être le nouveau visage de la campagne publicitaire de cette entreprise spécialisée dans la vente de motos, basée au Burkina et en Côte d’Ivoire (Bouaké). Chose qu’a d’ailleurs confirmée l’artiste en postant des images d’elle dans le magasin, avec écrit en légende : « j’ai signé un contrat de plus de 30 millions avec l’entreprise Mégamonde ».

Un poste qui a apparemment heurté la société puisque Mégamonde a réagi à cette publication quelques jours plus tard. L’entreprise a, dans un post, nié avoir signé un tel contrat avec Eudoxie Yao. Elle reconnait s’être entendue avec elle sur la somme de 250 mille FCFA pour son droit à l’image, avec comme preuve la photo de la facture signée de la main de la star des réseaux sociaux. Une facture sur laquelle l’on peut voir clairement écrit le nom complet d’Eudoxie, ainsi que le numéro de sa carte nationale d’identité.

Cette déclaration de la société Mégamonde a suscité de nombreuses réactions chez les internautes qui d’un côté dénigrent la contestation de l’entreprise et de l’autre se moque ouvertement de l’artiste. « Ce sont des hypocrites. Après avoir fait votre publicité, vous l’humiliez comme ça puff » ; « elle aussi comment elle peut mentir de façon flagrante comme ça » ; « ce n’est pas du tout professionnel venant des deux côtés », pouvait-on lire en commentaire.

 

Danielle YESSO