Suivez Nous

Rema adore-t-il le diable ? Voici sa réponse

Rachelle Tape | | Musique
REMA

Le chanteur nigérian Rema, de son vrai nom Divine Ikubor, est une figure montante de la scène musicale internationale. Cependant, malgré son succès fulgurant, il n’échappe pas aux rumeurs et aux accusations. Dans une récente interview sur le podcast Kids Take Over, l’artiste est revenu sur l’une des rumeurs les plus folles circulant à son sujet : son prétendu lien avec le satanisme.

Une rumeur qui n’a pas de fondement

Connu pour son tube mondial « Calm Down », Rema a répondu avec humour et calme aux allégations d’adoration du diable. Lorsque l’animateur lui a demandé quelle était la chose la plus absurde qu’il avait lue à son sujet, Rema n’a pas hésité : « Ils disent que j’adore le diable. C’est fou. »

L’artiste a expliqué qu’il avait choisi de ne pas répondre directement à ces accusations parce qu’il les trouvait insignifiantes et sans intérêt. Selon lui, prendre le temps de répondre à ces rumeurs serait une pure « perte de temps ».

Mais d’où viennent ces malentendus ? Le chanteur a précisé que les symboles qu’il utilise dans son art sont en réalité inspirés de la culture Edo, une ethnie nigériane dont il est originaire, et qu’ils n’ont absolument rien à voir avec le satanisme.

Un avenir prometteur, malgré les polémiques

Au-delà des rumeurs, Rema reste concentré sur sa carrière et ses collaborations. En 2020, il a notamment travaillé avec la superstar canadienne Drake sur un projet intitulé « Mention Me », bien que la chanson ait fuité avant sa sortie officielle. Pour Rema, cette collaboration a été une opportunité exceptionnelle de travailler avec une légende de l’industrie musicale.

« Je suis heureux de travailler avec une légende comme Drake. J’ai l’impression que nous allons faire une chanson énorme si nous prenons notre temps pour construire quelque chose de très fort », a-t-il confié. Cette déclaration montre bien que, malgré les obstacles et les critiques, Rema reste focalisé sur son art et sur la création de musiques marquantes.

Rachelle Tapé

Mots-clefs : ,

Laisser un commentaire