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Chanson « Môgo Fariman » de Roseline Layo : Aïcha Koné, la diva incontestée de la musique ivoirienne, recadre Affou Kéïta

Jonas Kouassi | | Musique
R 1

L’affaire brûlante de plagiat autour de la célèbre chanson « Môgo Fariman » de Roseline Layo continue d’alimenter les conversations, avec des révélations fracassantes. Et cette fois-ci, c’est Aïcha Koné, la voix emblématique de la musique mandingue, qui est entrée en scène pour recadrer Affou Kéïta, l’accusatrice en chef.

Dans une apparition remarquée sur le plateau de l’émission « Faha-Faha » diffusée sur Ivoire TV Music, Aïcha Koné n’a pas mâché ses mots pour dénoncer les prétentions d’Affou Kéïta. D’une voix assurée, elle a révélé un fait troublant : « Il n’y a même pas à se mélanger. La chanson là, moi Aïcha je vous dis qu’elle n’appartient pas à Affou. Allez sur YouTube, vous allez trouver le nom d’une dame que l’on appelle Djoma Fanta. C’est la créatrice de Coucou (…) ».

Les paroles incisives d’Aïcha Koné ont ainsi mis en lumière une autre artiste, Djoma Fanta, qui serait la véritable génitrice de la chanson incriminée. Cette révélation surprenante vient ajouter une nouvelle dimension à la polémique qui fait rage depuis plusieurs semaines déjà.

Cependant, bien avant l’intervention d’Aïcha Koné, Affou Kéïta avait déjà porté l’affaire devant les juridictions ivoiriennes, cherchant à obtenir justice dans cette bataille artistique. Les étincelles continuent de jaillir entre les deux chanteuses, laissant présager une bataille acharnée devant les tribunaux.

Cette histoire de plagiat musical, qui semblait s’éterniser, connaît donc un nouveau rebondissement grâce à Aïcha Koné, dont la parole pèse indéniablement dans le paysage musical ivoirien. La tension est palpable et les enjeux sont de taille pour ces deux artistes engagées dans une véritable guerre médiatique et judiciaire.

Jonas Kouassi

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