Actualité : Les malades de l’écran
Au-delà de l’usage évident des TIC, la notion de dépendance n’est pas toujours explicites quant aux conséquences éventuelles qu’ils pourraient provoquer.
Bien que des études indiquent que leurs utilisations, permettent une croissance de l’évolution de la productivité et qu’elles induisent aux développements économiques, des restrictions discutables, voire accablante relance le débat de leurs nocivités.De ressente recherches ont montré que certains « sujets » exposés à l’usage continu des gadgets à écran développent des crises d’angoisses et des dépendances. Ces nouvelles sorte de crises duent à l’émancipation du progrès technique, conduisent aux désenchantements des relations humaines.
En 2008 en Angleterre apparaissait un nouveau vocabulaire : Nomophobia (no mobile phobia). Cette angoisse de ne pas avoir apporté de main son téléphone mobile est de plus en plus grandissante de l’adolescence jusqu’à l’âge de la maturité. On parle de 76% de la jeunesse anglaise (entre 18 et 24 ans), 34 % en France (entre 15 et 19 ans), 43% en chine. D’autres sujets sont dépendant de l’ordinateur, d’internet, des jeux vidéo etc.
Cette forme « aboutie » de communication, avait été présenté au départ comme le remède à l’individualisme. En effet selon les professionnels du marketing, elle permettrait à l’individu transcender les barrières culturelles et fournirait la possibilité de vivre en harmonie avec ces semblables. Or le résultat produit, montre une toute autre réalité : l’essor du virtuel et la pression exercée sur les capacités d’adaptation de l’être humain.
L’angoisse de perdre le privilège de rester acteur tout au long de sa vie en considérant que ce monde virtuel est un potentiel favorisant la manifestation de l’intelligence collective. Dans cette difficile phase que traverse la jeunesse, les remèdes se font rares, mais pas pour autant inexistantes.
L’une d’entre elle est, la responsabilité des parents. Elle qui consiste à conditionner les forfaits de leurs enfants adolescents. C’est-à-dire avoir le courage de décliner les forfaits illimités à moindre coût. On peut aussi surveiller l’isolement de l’enfant par rapport à la famille car cette attitude pourrait révéler des difficultés de communication, d’une souffrance latente et de problèmes relationnels. Installer l’ordinateur familial dans une salle commune afin de favoriser une supervision adéquate. Enfin, baliser l’accès à internet et limité le temps d’utilisation tout en variant les activités de détente en famille. En attendant que la conscience collective se décide à exercer les pressions nécessaire, en vue d’une meilleure réglementation, merci de soutenir comme vous pouvez, nos malades de l’écran !