La Nuit blanche de Diane Laure Okounba Simbou à Marrakech
Ecrivaine d’origine gabonaise, DIANE LAURE OKOUMBA SIMBOU signe son premier roman «Nuit blanche à Marrakech. Le mystère originel». Une fresque romanesque où la jeune écrivaine de 29 ans, a consumé, rêvé sa vie pour en extraire quelques sons essentiels, et détourner avec brio le cours de notre imagination pour nous plonger dans le décor de Marrakech. Sublime ville où une traque sans merci sur fond de relation amoureuse complexe va servir les personnages truculents de ce roman. Nous lui avons posé cinq questions auxquelles notre romancière a bien voulu répondre.
Qui est Diane Laure Okoumba Simbou ?
Merci pour votre accueil. D’après mon entourage, je serais une amoureuse des gens et de la découverte. Sans doute parce que j’aime garder le meilleur de mes rencontres.
« Nuit blanche à Marrakech » est votre premier roman. Comment vous est venue l’inspiration pour la rédaction de ce livre ?
C’était à Marrakech. Je rentrai de discothèque et, ne trouvant pas le sommeil, j’ai emprunté un stylo à la réception. Je suis monté dans ma chambre et j’ai commencé à écrire sur les feuilles que l’hôtel avait mis à disposition pour recueillir nos commentaires, en fin de séjour. De retour en France, j’ai continué sur mon ordinateur. Et avec la confiance du département desauteurs-deslivres de A M Communication que je remercie, c’est devenu un roman disponible sur fnac.com.
Vous nous offrez là un véritable roman d’aventure où les scènes à rebondissement sont légion. Peut-on y voir une certaine ressemblance avec la vie de l’auteur?
( Sourire) Certains caractères des personnages sont puisés de mes rencontres. Par exemple, le maître d’hôtel qui appelle Armony sa Nine. C’est inspiré de l’un des responsables de mon hôtel qui avait toujours un joli surnom pour moi. Ainsi, poliment et très aimablement il me disait : « est-ce que ma perle rare a bien dormi ? » ou encore « aujourd’hui comme tous les autres jours, vous êtes la plus belle ». Ceci étant, dans le livre, j’ajoute une bonne part de fiction pour justement stimuler l’imagination du lecteur. Par exemple, quand je décris Marrakech au XIIème siècle, j’invite celui qui lit à modeler le décor dans ses pensées.
Pourquoi avoir choisi la ville de Marrakech comme décor à votre récit ?
Toutes les villes du monde ont quelque chose de merveilleux. Ce jour-là, j’aurai pu être à Rio ou à Yamoussoukro, or mon goût pour l’aventure m’avait mené à Marrakech.
Quels sont les composants de votre actualité littéraire?
Je prépare actuellement le tom 2 Nuit Blanche à Marrakech – le retour du damné. En attendant ce 2ème livre, je continue d’accompagner la sortie du 1er. Ainsi voici 2 dates :
– pour le samedi 23 juin 2012, je remercie l’équipe de la librairie numérique de Monaco de m’inviter, à la 1ère rencontre littéraire de Monaco, de 11h à 18h, dans la salle Marcel Kroenlein du jardin exotique.
– à la rentrée, pour le samedi 8 septembre 2012, je remercie l’équipe de la revue Art’en Ciel de m’inviter en signature, de 10h à 12h30, à la librairie du Parc, au 94 boulevard des Belges, dans le 6ème arrondissement de Lyon.
J’aurai plaisir à rencontrer les lecteurs et écouter leurs impressions.
DIANE LAURE OKOUMBA SIMBOU : « Nuit blanche à Marrakech. Le mystère originel »
AM Communication des auteurs des livres (1 février 2012)
303 pages