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« Ce que cache le capitalisme contemporain », de Lukas Junior : un modèle de développement révolutionnaire proposé

Innocent KONAN | | Litterature
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Né à Lubumbashi, en République démocratique du Congo, le 5 février 1995, Lukas Junior Lubela est le deuxième d’une famille de sept enfants. Après des études dans le domaine de l’économie à l’Université de Lubumbashi, Lukas Junior travaille actuellement comme banquier au sein de la Trust Merchant Bank dans sa ville de naissance. Passionné d’écriture, Lukas sort un essai intitulé « Ce que cache le capitalisme contemporain » paru aux éditions Jets d’Encre. Un livre qui en dit plus.

Dans cet essai, « Ce que cache le capitalisme contemporain », Lukas Junior apporte une précision au système économique en définissant le capitalisme dit « contemporain ». En démontrant l’existence et la pertinence de l’application rigoureuse et volontaire des principes capitalistes contemporains, l’habitant de Lubumbashi propose un modèle de développement révolutionnaire.

Pourquoi certains pays du monde réussissent là où d’autres échouent ?

Telle est la question à laquelle l’auteur essaie d’apporter des réponses dans son essai. Pour lui, « Dans le grand concert des nations, un pays n’est véritablement considéré par les autres que lorsqu’il dispose d’une économie forte, dynamique et diversifiée. Parmi les différents systèmes économiques, le capitalisme est celui qui a convaincu le plus de nations. Mais ce système connaît aussi ses écueils. S’il apporte prospérité et meilleures conditions de vie à certains, il cause désolation et pauvreté à d’autres. Ainsi le monde s’est retrouvé divisé en deux blocs : les pays développés et les pays sous-développés. » Fait-il savoir.

Dans un extrait de son livre, il fait savoir que « le modèle de développement par relais est une stratégie de développement qui milite pour l’acquisition et la diffusion des connaissances techniques et du savoir-faire par le renforcement des structures institutionnelles afin de promouvoir le développement économique d’un pays. Il ne s’agit plus seulement de consentir à l’octroi des facilités ou crédits bancaires aux pays en développement, mais il devient également question de permettre l’acquisition de compétences et de savoir-faire techniques afin d’orienter et de canaliser les capitaux ainsi obtenus vers le financement des secteurs d’activité stratégiques pour garantir une croissance économique forte et dynamique. »

Innocent KONAN

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