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Lupita Nyong’o, la plus belle femme du monde

Desire Amani | | Evènements
Si le succès de toutes pensées aspire de nos jours à un idéal de progrès considérable dans notre existant, alors notre société dans son esprit contemporain gardera et en bénéficierait de cette flamme comme étant le noyau central des cultures dites métissées. Les verbes avoir, faire et être en sont les vraies raisons de la réalité humaine dans notre propre histoire.
Tout le monde a une histoire, et chaque histoire reste présente dans une mémoire quelque soit la nature de sa culture tinctoriale. Que retiendra donc l’histoire de notre ère de l’actrice Lupita Nyong’o ?
Actrice née dans l’âme biologique et même au-delà du spirituel, cette féline des écrans a su toujours donner au public ce que son cœur pouvait offrir en abondance. Fanatique au sens plus élargi du goût de son art, Lupita Nyong’o a semé le vrai pour en recevoir aujourd’hui l’or de toutes les consciences dites transdisciplinaires, en plus de sa plastique comme symbole esthétique reconnu par les illustres académiciens du globe terrestre.
Consciencieuse dans tous les extrêmes de sa passion, son talent aujourd’hui semble avec fermeté et humilité l’essor résultant de sa dextérité professionnelle. Voilà un des points qui conviennent parfaitement à cette nouvelle naissance des mentalités dites fécondes dans ce monde moderne qui gagne en latitude. La nouvelle génération de notre ère, laisse de côté tout écart de conduite nuisible aux conditions humaines dans sa variation, et cherche d’autant plus avec une mobilité créatrice les grands chemins qui conduisent la croissance émergente de toutes les cultures sensées saines dans une franche collaboration, au cœur du banc des collectivités et du développement durables.
Née à Mexico, cette fille du célèbre sénateur du comté de Kisumu Peter Anyang’ Nyong’o1, Lupita Amondi aurait reçu de manière singulière un tout premier prénom à consonance espagnole qui serait le diminutif de Guadalupe, et un second prénom traditionnel « luo »  qui signifierait dans cette société d’origine traditionnelle « la fillette qui est née entre 3 et 5 heures du matin.  D’un père et d’une mère, bien encrés  dans l’administration de ladite ville et capitale du Mexique, notre actrice fut le second enfant ou la deuxième née d’une fratrie de six enfants. La naissance de cette élite des canons esthétiques et de beauté au niveau mondial a marqué d’une traçabilité indélébile dans l’histoire de ce monde qui ne fait que montrer du très haut le mystère de l’éthique à tous les niveaux.
Si la prospérité du courage, de l’abnégation et de l’engouement donne à l’être humain une confiance en soi qui l’inciterait à donner le meilleur de lui-même pour le bien-être social, alors cette grande transformation éducative doit son accroissement  en somme aux parents biologiques de Lupita, tous deux fonctionnaires internationaux depuis sa venue au monde.
L’assomption vers la gloire…
La nouvelle est tombée en ce jour béni de cette année de 2014, très symbolique en numérologie. Cet esprit nouveau où apparaît progressivement l’idée de pénétrer dans les domaines qui nous entourent, cette croissance des champs et  culture de l’art aux compétitions universelles.
« C’est l’année de la consécration pour l’actrice Lupita Nyong’o ! Après avoir gagné l’oscar de la meilleure actrice second rôle dans le film « 12 Years a Slave » et être devenue la nouvelle égérieLancôme, la jeune femme d’à peine 31 ans vient tout juste d’être élue femme la plus belle de l’année, par le magazine People. C’est au tour de Gwyneth Paltrow de donner son flambeau à la jeune actrice, elle qui avait succédé à Beyoncé ou encore Jennifer Lopez.
C’est bien l’une des annonces les plus flatteuses qu’on puisse recevoir, la belle était tellement touchée qu’elle a posté sur son Twitter officiel « C’est très excitant et juste un très, très beau compliment ».
C’est sa mère, consultante en relations publiques et l’une des directrices de l’association Africa Cancer Foundation, qui ne doit pas être étonnée, elle qui dit sans cesse, d’après Lupita, que sa fille est magnifique. »
Une biographie artistique  naissante qui prend vite une consolidation dans sa forme
Depuis sa Mexico natale, Lupita Amondi a reçu l’affection de ses parents. Le père à cette époque était professeur invité au collège de Mexico et sa mère Dorothy Nyong’o consultante en relations publiques, fut l’une des directeurs de la Fondation Africaine du Cancer »  connue sous cette appellation de Africa Cancer Foundation.« De retour au Kenya avant l’âge d’un an, Lupita entame ses études primaires au Loreto Convent Msongari de Nairobi qu’elle quitte à l’âge de onze ans pour rejoindre la Rusinga Schools, toujours à Nairobi. C’est dans cette école qu’elle commence, grâce à son professeur d’anglais et passionné de théâtre, à s’intéresser à l’art dramatique3. C’est ainsi qu’à 14 ans, elle auditionne au Kenya National Theatre (« Théâtre national du Kenya ») pour un rôle dans Roméo et Juliette produit par la troupe des Phoenix Players (en) et, au-delà de ses espérances, obtient le rôle de Juliette. »
Ce bouillonnement d’idées vers le chemin de la création donne une renaissance selon les termes consacrés à une ouverture vers une voie considérable dans l’avenir.
Orientée à l’âge de 16 ans, par ses parents vers l’Université Nationale Autonome du Mexique, pour un apprentissage accéléré en langue d’espagnol d’une durée de 7 mois, fut une expérience exceptionnelle pour Lupita d’où le déclic conduite vers les voies d’une grande maturité, avant même son inscription définitive à la St Mary School de Nairobi.  Ce lycée restera gravé dans sa mémoire car c’est à cet endroit pédagogique qu’elle obtient son baccalauréat international, qui lui a servi de clé ou de passeport diplomatique.
« Ce BAC lui ouvre, en 2005, les portes du Hampshire College de Amherst aux États-Unis où elle obtient, en 2008, un baccalauréat universitaire ès lettres (BA). Pendant cette période, elle occupe des fonctions techniques dans plusieurs productions5 ; notamment celui d’assistante de production pour The Constant Gardener (2005), de stagiaire en postproduction pour The Namesake (2006) et d’assistant stagiaire du chef décorateur pour Where God Left His Shoes (2007)note 1.
En 2010, elle reprend ses études et obtient, en 2012, une maîtrise en arts (MFA) à la Yale School of Drama de l’université Yale6,5. C’est pendant cette période qu’elle peaufine sa maîtrise du jeu d’acteur en participant à plusieurs pièces de théâtre produites par l’école au Yale Repertory Theatre. »
Une carrière professionnelle voit le jour
L’histoire selon ses pages anciennes ou  recyclées retrace toujours les moments qui se précèdent les uns aux autres, en fonction de leur durée dans le temps, l’espace et le temps-espace. Ce souvenir dans l’absolu se signale par l’extraordinaire développement d’intérêt pour tout ce qui pourrait nous entourer dans nos tous débuts vers la quête du goût pour la fonctionnalité choisie.
L’année de la lumière, celle de 2013 a retenu l’attention de tous car c’est à cette date que Lupita a été visitée par la blancheur de la gloire. Elle obtient avec honneur son deuxième second rôle dans « Non-Stop » comme hôtesse de l’air Gwen Lloyd, réalisé par Jaume Collet-Serra. Loin du découragement, notre symbole des canons de beautés, au corps sublime ne perd pas de temps. Elle s’arme de courage et grimpe comme une étoile de mer vers le ciel en toute confiance.
« En 2012, elle participe à une audition pour un rôle dans Twelve Years a Slave (2013) du réalisateur Steve McQueen et, trois semaines avant l’obtention de sa maîtrise en arts à la Yale School of Drama10, décroche celui de Patsey, une esclave occupée dans une plantation de coton des États confédérés d’Amérique au XIXe siècle. Son jeu de rôle lui apporte, hormis huit nominations sans couronnement, pas moins de 19 récompenses de cinéma en 2013 et 2014, dont l’Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle aux Oscars du cinéma 2014 devenant ainsi la 15e actrice gagnant un Oscar dès ses débuts dans le 7e art. »
La carrière professionnelle, pour cette divinité des écrans a pris donc son envole il ya 6 années environ. Cette matérialisation de son rêve était un devoir qu’elle avait envisagé accomplir rigoureusement sans attendre d’autres récompenses de nulle part. Ce fut une immense curiosité de pouvoir se frotter dès l’âge adulte à cet univers.
« C’est en 2008 que sa carrière professionnelle débute. D’abord en interprétant le rôle féminin principal dans East River, un court métrage de fiction tourné à Brooklyn7. La même année, après être rentrée au Kenya avec son diplôme du Hampshire College en poche, elle produit et réalise le clip vidéo The Little Things You Do pour la chanteuse Wahu (en) puis obtient le rôle d’Ayria dans le soap opera Shuga (en), produit pour la télévision par MTV Base Africa (en), avec pour sujet la prévention du sida. Elle y apparait dans trois épisodes sortis en 2009 et deux sortis en 2012. Toujours en 2008, elle écrit le scénario du documentaire In My Genes qui explique la difficulté d’être un albinos au Kenya puis se lance dans sa réalisation et sa production. Sorti en 2009, le film est primé au Festival de Cine Africano de México (« Festival du film africain de Mexico ») de 2008 ».
Le pouvoir corporel de cette jeune trentenaire repose sur sa ferme détermination pour son art et une franche motricité de sa foi en  l’art pour l’art. Sacrée Lupita Nyong’o…

Désiré Amani