Mathilde Moreau célébrée Ambassadrice des écoles d’art d’Afrique en France
Ouvrir l’espace des métiers de l’art pour l’intégrer dans les réformes des formes de l’art, est un concept qui répond à un véritable art dans l’apprentissage du savoir dans notre façon de vivre. Et si cette manière de voir les choses s’exprime à travers de nouvelles mentalités. Ces décors et ces mises en scènes de l’intelligence agiront comme volonté à nos ententes souhaitées dans la quasi-totalité de notre patrimoine culturel et scientifique, au service de nos temples artistiques.
Une volonté d’acier comme fiabilité
Sollicitée par les grandes galeries de ce monde, Mathilde Moreau a encore d’une part, fait parler de sa grande générosité pour le pouvoir de l’art et d’autre part, de la fécondité de son travail artistique en France, en Angleterre, en Italie, en Hollande, en Hongrie, en Allemagne et en Turquie lors de sa toute dernière tournée Européenne en mai 2014. Cataloguée, sous cette appellation de la « déesse de l’art contemporain africain », l’audace (cette volonté d’aller vers…) pour une donne avancée et la subtilité (comme saveur) sont les grains de beauté dominants et qui, copieusement prennent part au cœur de sa fibre artistique très raffinée.
Réveillée par une teinte de rayon de soleil qui lui rappelle sa terre natale, la Directrice de l’ENBA a visité toutes les grandes villes Françaises dans lesquelles sont en formation ses étudiants et ses collègues enseignants. Une valeur, visible à la dimension très humaine et honorifique, que notre rédaction tient à saluer considérablement. C’est pour nous autres d’approuver de par les traçabilités des faits et actes posés, qu’elle reste inégalable sur tous les bords, malgré les peaux de bananes jetées sur la route du bonheur pour tous.
Une reconnaissance à l’échelle internationale
Cette artiste, enseignante, dans sa logique sur les vertus de la transdisciplinarité dans les écoles d’art, a éloquemment séduit les institutions de l’académie des beaux-arts et s’est vue dans la même conviction célébrée comme « meilleure maman au cœur d’or de l’année 2014 et ambassadrice des écoles d’art d’Afrique en France » en cette date historique du dimanche 25 mai où « les mamans » étaient magnifiées. Comme une bonne pédagogue, à travers un petit cours d’histoire de l’art, elle a su garder la ligne de son débit oratoire d’où sa vaste richesse dans cet univers glorieux. Le point fort de notre entretien avec Madame Moreau, résidait dans la présence cette grande possibilité, sur le plancher mondial, de l’avenir des écoles d’art en Afrique et d’ailleurs procurant un flot d’originalité dans la créativité.
Vu son programme très lourd, notre ambassadrice s’est envolée quelques jours de plus, pour des raisons professionnelles, au cœur de la capitale Abidjanaise. Selon nos sources d’informations, ce départ inopiné de la « Diva de la peinture Ivoirienne » faisait office d’une fonction en qualité de marraine pour l’exposition historique et l’ouverture de « Le Basquiat Art Gallery » avec les artistes de renommée internationale : les peintres Adoudia et Armand Boua, le designer contemporain Issa Diabaté et le photographe d’art Ananias Leki Dago, prévue le 28 mai 2014 à 18H30.
Désiré Amani