Germain ROESZ, un héritage à cultiver
Dans nos champs littéraires et culturels loin d’être un phénomène localisé dans le cœur de la mère nature comme une négativité, Germain Roesz, ce maître à pensée d’où cette flambée créatrice touche très positivement avec son art, sa théorisation et même sa personnalité toutes les diverses régions de la France et d’ailleurs.
Le don de soi
De l’artiste peintre, à l’artiste multicartes, de l’enseignant à la direction du laboratoire d’Approche Contemporaine de la Création et de la Réflexion Artistiques, Roesz a toujours su joindre l’expressivité à l’esthétique en passant par l’art et la manière, au service de l’utile à l’agréable. Ancré dans le respect de l’autre aux fibres très associées à l’humanité, ce grand artiste a donné tout ce qu’il possédait pour nourrir l’avenir de l’art partout où il a pu poser les pieds ou séjourner lors de ses prestations à caractères artistiques ou scientifiques. L’esprit « Germain Roesz » est présenté d’autant plus comme un événement, une plage de réflexion d’où une nouvelle mentalité qui vient dans un optique bien précis de guérir l’âme de l’art, aujourd’hui malade sur tous les plans. Il est bien de savoir que depuis de nombreuses années cette grosse bibliothèque vivante n’a fait que semer la tolérance, l’amour du travail bien fait et le respect mutuel dans ses actes. Un très bel héritage à consommer dans toute son éthique profonde.
Un autre pas vers une nouvelle vision
Depuis que le monde a vu le jour, la mode des consciences était de former une génération émergeante à tous les niveaux sans exception. A cette nouvelle époque où le monde nous révèle son vrai visage dans sa tendre chair de son histoire, chacun doit être capable de construire son histoire dans un monument livresque sous la plus subtile des franchises concentrées. Pour ce grand sage des sciences de l’humanité, l’image serait la base de toute conscience absolue. Car cette image dans le vide du temps des diverses possibilités que le temps nous offre, reste omniprésente et nous impose sa sublime suprématie ouverte à ciel ouvert dans notre éducation culturelle, scientifique, philosophique, artistique, anthropologique et littéraire. Tout part des vibrations dans le creux de notre « moi » vu comme un héritage de nos ancêtres. La tendance ici de notre nouvelle ère, est de s’armer pour affronter ce monde de demain qui semble encore être tout un énorme mystère à expérimenter avec une loupe binoculaire de sagesse. La résultante de ce lien cognitif dans sa globalité marquera la fonction de notre traçabilité considérée comme le porte-flambeau d’où la clé de l’élite de l’avenir. Tout au bout de ce voyage, Germain Roesz clame de tout son être, en purifiant la conscience de l’humanité que : « chacun trouvera le beau temps de son âme compatible à l’histoire qui nous unit tous dans l’indifférence établie aux normes naturelles. Car c’est de là que tout se cultive pour atteindre l’élévation ou pour plus suggérer la visibilité des conditions vitales, je dirai tout simplement : l’héritage. »
L’héritage à cultiver
Comme le souligne d’autant si bien, le maître de la parole : « A l’inverse des civilisations traditionnelles rejetées, l’héritage est spécifique à la valeur de la parole, qui devrait être cultivé et semé en fonction des espaces « matériel et immatériel », le temps dans les formes transcendantes ou singulières et le vide des diverses possibilités teintées à chacune des vies expérimentales. Cet héritage met en harmonisation les nouvelles pensées basées sur l’oralité des comportements dits exemplaires des sages.
L’amour du travail bien fait consolide les liens entre le goût et les forces qui prennent racine chez l’être en général quelque soit son rang social. Prendre une habitude de faire, ou accepter de se confondre à un corps, valider l’utilité de notre bonne présence parmi le commun des mortels comme « un instrument de création intérieure » et l’offre « d’une aura » à valider au fin d’entreprendre un travail de recherche sur soi pour atteindre le spirituel ; donc communiquer. Communiquer revient à voir plus loin qu’ « internet », de se donner pour le meilleur de soi dans un profond respect doublé d’une tolérance accrue derrière la même porte d’entrée. Ce départ dépendamment de la volonté de Roesz du laboratoire Approche de la Création Contemporaine et de la Réflexion Artistiques, ne serait point un adieu, mais plutôt un héritage qu’il lègue à son successeur au fin de poursuivre la même mission qui les lie et qui leur colle à la peau.
Pour conclure, nous nous pencherons sur cette note d’espoir de Valérie L’hernault qui ajoute : « Au fil du temps l’incompréhension devient compréhension tout en laissant une petite place à l’espoir… »
Une manière de croire en l’avancée des actes que chacun de nous, selon la foi qui l’anime, concrétise.
Désiré Amani