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Musique : Paris, sur les traces du Professeur, arrangeur et producteur Kossonou Henri-Luc alias KOSS

Desire Amani | | 100% potins

La rédaction générale du journal culturel franco-suédois 100pour100culture.com a rencontré le célèbre artiste multicartes arrangeur, producteur, enseignant de basse et chef de l’orchestre des maîtres de l’Institut National Supérieur des Arts et de l’Action Culturelle (INSAAC) sa sainteté Kossonou Henri-Luc  alias ‘’KOSS’’ en pleine capitale de la République Française lors de son séjour  Parisien dans le 16 ème arrondissement à Trocadéro.

Il est presque 16 heures, au moment où le beau soleil nous offre son hospitalité à bord d’une terrasse avant la séance de travail. Tous nos deux ancêtres sont alors dans une prédisposition pour la conférence de presse.

KOSS est à Paris dans l’optique de finaliser l’album en hommage à la sommité Ernesto Djédjé intitulé « Contre l’oubli, la culture de la mémoire ». Vu son programme très chargé le professeur de basse sera en séance de travail dans les locaux de la structure CINEKITA de la diva Madeka à Puteaux  (Paris). Pour le mastering, cette phase finale avant la sortie officielle et la mise sur le marché de l’album, prévue pour le mois de mars Kossonou Henri-Luc reste confiant et optimiste. Accompagné du journaliste Alex Kipré du journal Fraternité Matin, KOSS travaille pour cette œuvre sonore avec le guitariste Français Mimi Lorenzini, le célèbre violonniste Français Jean-Philippe Audoli, Assouan Valess et Mike Dibo de Plus d’Afrique sur canal plus, sous l’œil vigilant de l’oncle Djotouan Hyacinthe, enseignant-chercheur et professeur de musique et musicologie à Université de Nanterre (Paris) et à Ecole Nationale de Musique (INSAAC) Abidjan.

Il est à souligner que son excellence Tiburce Koffi, l’actuel Directeur général de l’Institut National Supérieur des Arts et de l’Action Culturelle (INSAAC) est l’initiateur et le concepteur du dit projet. Il le souligne si bien dans cette assertion : « L’idée de la création est la quintessence de notre enseignement. »

Pour ce père de la nation culturelle, chaque être a besoin de créer, mais la vraie création fait appel aux hommes de bons sens, sensibles aux divers champs et capables d’apprécier dans une contemplation spirituelle la culture de l’art comme une régénération intérieure identitaire.

Désiré Amani

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